Et puis il y a ceux là aussi …

Les antibiotiques, c’est pas automatique. C’est plutôt même … inquiétant !

Voilà ce qui était écrit :

Effets indésirables :

  • réactions allergiques (dont démangeaisons, gonflements divers, difficultés à respirer … ) ces difficultés peuvent être fatales
  • éruptions cutanées
  • fièvre, douleurs articulaires, gonflement des ganglions
  • plaques rougeâtres ou violacées
  • bosse sous la peau, cloques, pustules, desquamation …
  • symptômes de type grippal
  • problèmes au niveau des cellules sanguines
  • diarrhées (parfois accompagnées de sang)
  • effets indésirables graves au niveau du foie
  • mycoses
  • problèmes rénaux
  • convulsions
  • vertiges
  • hyperactivité
  • dégradation excessive des globules rouges

(par ordre décroissant de fréquence)

Sauf que… je n’ai pas lu la notice parce que ce médicament me semblait tellement anodin, courant même …

Je m’en sors bien, je n’ai, pour le moment qu’une tâche type brulure sous l’aisselle.

Mais j’ai fait aussi une crise d’angoisse en pleine nuit.

Sinon, … il ne m’a été d’aucune utilité, j’ai toujours le même souci à une gencive !

En résumé, pour (ne pas) soigner un petit souci, j’en ai eu d’autres et ça aurait pu être pire.

Et comme le lien de cause à effet n’a pas été établi de suite, j’ai pris toute la boite comme prescrit.

 

Nos abeilles, notre planète, les lois et les politiciens

Tous ceux qui veulent le pouvoir (qui prennent le pouvoir) veulent aussi au moins une chose : laisser leur nom dans l’histoire.

Pour preuve, au moins en France, dans ce pays qui regorge de lois, les noms donnés aux dites lois : la loi machin, la loi truc, la loi xxx

Se disent-ils que s’ils nous trouvaient des lois qui aient un sens profond, celui de sauver notre planète par exemple, leur nom serait lié à une grande cause ? Et que, pour le coup, personne, absolument personne ne les oublierait ?

S’ils se trompent de lois, ils risquent fort de laisser un nom dans l’histoire d’une planète … qui aura disparu !

Peut-être qu’il faut donner le pouvoir à quelqu’un qui ne le prendrait pas uniquement pour son ego …

Peut-être qu’il faut cesser de donner le pouvoir à une seule personne dans nos contrées (dites) civilisées …

Je ne sais pas vous, mais moi, ça m’épuise ces histoires de destruction de notre planète. Si « ils »ont le pouvoir, la planète ne leur appartient pour autant pas. Serait temps qu’ils se calment !

Un individu dangereux

Pour éviter la liste de ce qui se lit dans les journaux, je parlerai au singulier, donc, d’un « individu dangereux ».

Pourtant, tout le monde a compris, il n’y en a pas qu’un. Je trouve même qu’il y a en a beaucoup.
Donc, la presse relaie volontiers l’info et le détail lié : un individu dangereux est recherché pour … allez ! … terrorisme , assassinat, prises d’otages, enlèvement d’enfant … je mets 3 petits points mais il n’y en a, finalement, pas tant que ça des raisons qui poussent à qualifier un individu de dangereux et encore moins des actes qui décident la presse, la police, gendarmerie, ministères et finalement journalistes à lancer un appel à la vigilance et éventuellement aux témoignages.

La question que je me pose est : à partir de quoi peut-on qualifier que celui là est plus dangereux qu’un autre ?

Exemple : lorsqu’on lit que le dit individu était « déjà connu des services de police », vous avouerez que ça secoue un peu ! on le savait dangereux mais juste un peu, pas assez pour  empêcher qu’il ne devienne plus dangereux ?

En fait, il y a différents niveaux de danger selon la cible visée. Convenons-en car c’est assez flagrant. Le « déjà connu des services de police » revient plus souvent dans l’odieuse rubrique des « faits divers » (on s’arrêtera plus tard sur le titre de la dite rubrique) où il fait parler de lui suite aux coups violents portés sur femme ou enfant, parfois les deux. Et là, il n’a pas ce qualificatif de « dangereux ». Il n’a pas mis en péril la société. Juste une femme. Juste un enfant.

Soupir …

 

Elle m’a agacée !

20h

Comment voulez-vous rester calmes ?!

Je vous explique.

Préambule : je me fâche vite quand je suis aux prises avec notre chère administration. Mais juste quand je suis aux prises avec. Sinon, je sais qu’il existe de merveilleuses personnes qui sont adorables et qui aident le plus possible aussi.

Mais il y a le pendant : les autres. Les collègues. Les fâcheurs.

Je me rends dans une structure nouvellement créée qui incite le chômeur à créer son entreprise (pour être rayé de la liste, pour faire baisser le taux, pour faire monter dans les sondages). Je suis déjà à mon compte mais je veux développer. J’ai de l’ambition.
Oui, mais j’ai de l’ambition hors frontière. Car en France, c’est vraiment TRES compliqué.

Pourtant, je vous assure, je ne demande pas la lune.

Allez, je tente de vous expliquer, vous l’aurez noté, depuis tout à l’heure, et je galère. Parce qu’elle m’a énervé la dame.

La jeune dame.

Je lui dis :  « Il y a une donnée capitale, essentielle et impossible à changer, il faut en tenir compte. Dites moi comment faire pour « créer ».  (Comprenez que je ne peux vous révéler la donnée essentielle mais qu’à elle, je l’ai révélée n’est ce pas 🙂 ).

Pendant 10 bonnes minutes à scruter son ordinateur, elle m’annonce un tas de solutions pires les unes que les autres, en secouant la tête à chaque fois que je relève que ça ne correspond pas vraiment à ma recherche.

Au final, elle me dit qu’il faut changer la donnée impossible à changer. Voyez-vous ?

Je respire bien fort dans ces cas là parce que sinon, j’explose. Notez bien que je risque d’imploser mais je tiens bon. J’ai demandé sur quoi elle cherchait toutes ses précieuses informations.

Bonheur, joie ! c’est sur Internet ! je vais donc chercher moi même. Je vais me passer de ses mauvais conseils voire absence de conseils.

Pourtant, je vous assure qu’elle a vraiment insisté, mais vraiment pour annuler la donnée capitale et essentielle. Elle a une baguette magique : elle dit qu’elle peut changer l’impossible en possible.
Vive le chômage ! vivent les structures qui se créent autour ! vive la France !

Chauffard

20h

Toi, le chauffard, qui, tous les jours, met la vie des autres en danger, ces quelques mots sont pour toi.

Apprends déjà que, même si tu fais des appels de phares effrénés en me collant le plus possible pour m’obliger à me rabattre, je n’ai, contrairement à toi, aucune envie de me faire choper au radar (de 1), aucune envie de consommer d’avantage de carburant (de 2), aucune envie de te faire plaisir (de 3, 4, 5 etc) en me jetant sur la voiture que je suis en train de doubler.

Si je ne freine pas brusquement pour renoncer à doubler pour te laisser passer, c’est surtout parce que (pauvre ignorant), tu risques bien de me rentrer dedans !

Apprends ensuite que, une fois que tu as réussi à me doubler, il est strictement interdit dans le code de la route (que tu as du avoir lors d’un moment d’égarement où tu étais à moitié censé), de se rabattre brusquement devant la voiture que tu jubiles d’avoir dépassée (si tu tires ton plaisir de ça, j’attire ton attention sur d’autres plaisirs possibles qui relaxent : chanter en voiture, rire, sourire, regarder le paysage et non pas son nombril …).

Apprends que la voie d’accélération (quand tu arrives sur une double voie, par exemple) est une voie qui est séparée par des traits au sol discontinus qui signifient : CÉDER le passage et non FORCER le passage. Non, tu n’es pas prioritaire.

Toi, le chauffard, qui, tous les jours, met la vie de mamans, de papas, d’enfants en danger, tu m’écoeures !

Pas très pro tout ça …

20h

Le premier prix pour la meilleure pub aujourd’hui revient à la S#C* qui a envoyé un mail à tous ses abonnés pour tenter de les faire craquer avec le slogan suivant : « L’eau est encore chaude ».
Ça aurait été génial (le voyage aller à 29 €, tentant !) si les destinations proposées avaient été en lien avec l’eau.
Je n’ai eu comme propositions que : Poitiers, Avignon, Rennes, Lille, Lyon, Rennes, Strasbourg.

Alors soit ils nous parlent de l’eau des piscines, soit je suis nulle en géographie, soit ils sont nuls en communication.

Au choix.

Ça me fait penser aux nombres de bourdes que l’on trouve sur le net, notamment les sites interactifs (où l’on doit communiquer des informations). On se demande si c’est un pro qui se cache derrière tout ça. Pardonné pour les petits sites mais ceux appartenant à des monstres tels que nos chères administrations, là, ça énerve. Vous avez déjà testé vous ?
Moi j’enrage quand, une fois que tout est bien complété, on vous informe qu’il vous manque une info et … ils vous effacent tout !

Et personne auprès de qui râler, ça énerve deux fois plus !

C’est la saison des pommes (pour rappel hum hum !)

elephant-rose
Journal consacré à la pub.
J’ai entendu dire que certains étaient moroses à cause :
– du mauvais temps
– de la fin de l’été
– de l’arrivée de l’automne (notez, c’est la même chose, mais dit autrement, ça peut prendre un tout autre sens)
– des alertes oranges
– des mauvaises nouvelles du journal télé (changez-en, abonnez vous à celui de Pomme ! depuis le temps que je vous le dis !)
– des collègues qui vous plombent l’ambiance en vous parlant :
                                             – du mauvais temps
                                             – de la fin de ….                               stoooooooooooop !
Le mieux pour remédier à tout cela ?
Dévorer une pomme (c’est la saison) en lisant Pomme (joindre l’utile à l’agréable en se faisant du bien au corps et à l’esprit), et hop ! envolées les mauvaises nouvelles ! la vie est belle !
Si vous n’aimez pas les pommes, mangez une poire mais lisez Pomme quand même. Toute saine cohabitation est possible, la preuve :  (petit clin d’oeil à une poire qui me lit régulièrement).
A part ça ?
La pub !
Ah oui !
A quoi sert la pub ? à faire connaitre me direz-vous. Certes.
Ça permet aussi de rappeler à certains / certaines, qu’ils n’ont pas encore fait ci ou ça, aussi. (lire Pomme ? oui, pourquoi pas !)
Mais bon, ça, c’est l’autre côté. C’est côté cible surtout.
Et question cible, j’ai la sensation de l’être un peu. Vous me direz, ce n’est pas bien malin non plus de s’appeler Pomme, les pommes sont souvent les cibles des flèches… comme les cœurs tiens !
Bon bref, je m’égare.
Alors, la pub, ça représente son petit budget mine de rien.
Pour des petits projets qui me trottent dans la tête, je me dis « Tiens ! allons donc voir le coût d’une petite pub innocente diffusée via les grands médias » … j’ai vu, j’ai ouvert les yeux, j’ai frotté les yeux, j’ai fermé les yeux, je les ai entr’ouverts un peu pour le réglage … et je me suis dit que la pub, … c’est bien aussi de la faire soi même. Tant pis, je ne passerai pas sur les grandes chaines mais bon, en même temps, la notoriété me donnerait le tournis et j’en perdrais mes moyens (dans tous les sens du terme !).
Quelques secondes de condensé de pub, ça part de suite dans les 150 k€ (ils mettent k pour éviter de mettre les 000, mais ho ! on se doute bien que k€ ce n’est pas une nouvelle monnaie). J’avoue que j’avais oublié les tarifs (appris il y a longtemps, pendant mes études), mais on s’éloigne beaucoup trop du prix du kilo de pommes là !
Alors, si vous, vous avez lu Pomme et que vous voulez faire passer l’info, n’hésitez pas à confirmer et à partager : lire Pomme, c’est bon pour la santé !

Pour le reste, je réfléchis (mais je surveille vos partages quand même 😀 😉 ) …

Ah oui, avant de terminer et vous laisser aller lire Pomme (hum hum) … vous vous dites, peut-être : « Que partager ? »

Et bien : soit un extrait : en cliquant ICI ; soit, carrément, le lien pour acheter : en cliquant ICI
Pour ceux qui ignorent où se trouve Pomme, en dehors d’ici, c’est par ICI .
Et pour ceux qui doutent encore, je vous laisse aller lire les commentaires sur Amazon, on en dit grand bien : ICI.
Et sans vouloir abuser, vous pouvez liker (presque partout), vous pouvez, vous aussi, commenter (sur Amazon, Fnac, Le Furet du Nord, La Journée du manuscrit …)  (un livre, contrairement à une Pomme … quoi que …, se nourrit de VOS commentaires).
Je me creuse pour trouver d’où m’a été inspiré ce billet et soudain ……… mais oui ! bon, si vous n’aimez ni les pommes, ni les poires, ne mangez pas de jambon (trop) rose : il contient des horreurs : voyez ICI  (j’ai pensé forcément aux publicités qui nous vantent sa couleur ! personne n’a fait le rapprochement encore avec les éléphants roses ? 😉 ).
On nous prendrait pas un peu pour des pommes ? (parfois je dis : « on ne nous prendrait pas un peu pour des jambons » mais là, avouez que ça serait fortement déplacé !)
http://www.leseditionsdunet.com/autobiographie/4318-je-suis-la-reine-des-pommes-memoires-d-outre-vie-pomme-9782312045221.html
http://www.leseditionsdunet.com/autobiographie/4675-je-suis-encore-la-reine-des-pommes-pomme-9782312049113.html9782312049113.html
http://www.leseditionsdunet.com/autobiographie/4954-je-suis-toujours-la-reine-des-pommes-mais-plus-pour-longtemps-tome-3-pomme-9782312052212.html
http://www.leseditionsdunet.com/autobiographie/4962-pervers-narcissique-ou-autre-toxique-a-nous-deux–chacun-son-tour–pomme-9782312052298.html

Toujours les mêmes !

ecolo

 

Voici un exemple de leçon que les grands industriels donnent aux petits consommateurs que nous sommes : RE-CY-CLEZ bon sang ! stop au gaspillage ! C’est même écrit en gras, c’est vous dire l’implication totale de ce fabricant : Participons à la protection de l’environnement ! (voyez sur la photo, ils ont ajouté le point d’exclamation, c’est vous dire !)

Nous les saluons pour cette initiative de nous donner une leçon d’écologie : si cet appareil électronique est en fin de vie, il faut le confier à un point collecte.

On pourrait passer allègrement sur le sujet, classer le mode d’emploi au milieu des 25 autres aussi épais, mais ça m’a un peu énervé (qu’on me donne une leçon de morale) car : ce livret contient à lui seul 146 pages dont seulement 16 sont utiles à chaque pays concerné. Amusant non ? (je dis « amusant » pour ne pas craquer)

Il y a donc dans ce livret 130 pages en trop pour chaque client, pour chaque pays.

Je vais faire un calcul d’une simplicité extrême : supposons que ce produit ait été vendu à 10 000 exemplaires dans chaque pays concernés (soit : 9 pays) (on s’arrête à ceux là, j’imagine bien qu’il y a un autre livret pour d’autres langues), ça nous fait déjà 90 000 exemplaires x 130 (pages en trop) = 11 700 000 de pages en trop !  Et je suis généreuse, j’ai pensé « petites ventes » ! …
Comme c’est un produit assez prisé, je suis sûre qu’il a été au moins vendu à 100 000 exemplaires, je vous laisse ajouter le zéro supplémentaire, ça me tourne la tête tous ces zéros !

Je me demande parfois si on ne nous prend pas un peu pour des pommes …

Inspiration

20hUne lectrice  m’écrit : « finalement, ce « con » t’inspire ».

Précision utile : ce « con » est le pervers dont je parle de ci de là.

Je ne sais pas s’il m’inspire mais en tout cas, il « plait ». Il serait aux anges de lire ça. Sauf qu’il faudrait qu’il se calme vite. Parce qu’il « plait » par la lettre qu’il m’a en effet inspiré.

Mais il n’y a pas que lui dans la vie. D’ailleurs, il n’y est plus dans la mienne, alors oui, parfois, amies lectrices, vos messages et commentaires m’inspirent et je tente de vous apporter mon petit vent de fraicheur via un billet de bonne humeur. Histoire de vous montrer l’issue de secours, la porte de sortie, le bout du tunnel …

Néanmoins, l’actualité aussi m’inspire. Et ne me met pas forcément de bonne humeur.

On ne manque de rien. Exemple : les hommes politiques.

Parfois, je me demande s’ils n’ont pas plutôt fait « psycho » que « sciences po » ou s’ils ont suivi tous les cours. Ou s’ils n’auraient pas quelqu’un de bien inspiré (et payé en conséquence) à leurs côtés pour leur souffler quelques notions de base.

Je prends au hasard, un qui se fait remarquer par un comportement tout à fait scandaleux (inutile de donner un nom, vous piochez quasi au hasard) (ou vous allez chez Casto, y’a tout ce qu’il faut et même ce qu’il ne faudrait pas). La presse titre à la Une. Les twitters twittent, les facebookiens partagent, etc. Allez, on tient quoi … un jour, deux, grand maxi et pfiou ! on n’en parle plus.

Ce n’est pas une question de mémoire défaillante, c’est une question de quantité d’infos.
J’ai mes petites habitudes (à mon âge, on y tient) : je consulte tous les matins, mon fil d’actualité Twitter mais parfois, je déjeune très vite et je n’ai pas le temps de tout voir. Alors, je retrouve tout ça le jour où j’ai un peu plus de temps. Mais comme je sais que j’ai du retard, je parcours vite et les infos défilent à la vitesse du doigt qui glisse sur l’écran.

Une actualité en chasse une autre.

Et ça, tous les hommes (politiques qui participent aux grands scandales) le savent : on finira bien par oublier. Avec un peu de bol, l’écran du téléphone est petit, leur nom ne sera pas visible plus d’un millième de seconde.

Je ne sais pas vous, mais moi, j’aurais bien du mal à me présenter devant quiconque si mon nom avait été étalé à tous, relié à un bon scandale bien écœurant.

Il est vrai que dans notre magnifique monde, il y a des pommes, des poires, des bananes, des agneaux (de 6 semaines) et tous les autres.

Il est vrai que la prise de pouvoir fait pousser … tiens … oui ? fait pousser quoi ? (ah non ! pas « ça« , rêvez pas trop messieurs !)

Je pense que la prise de pouvoir, tout compte fait (sans jeu de mots particuliers ni allusions aux deniers qui sonnent dans les poches), anéantit certaines valeurs.

Qu’on ne parle pas de « fidélité (à quoi ?), égalité (entre qui et qui ?) ni de fraternité (envers qui ?) » parce que j’ai du mal à relier ça aux valeurs véhiculées par ceux qui voudraient nous donner des leçons et à qui on a donné bien innocemment le pouvoir. C’est là où on doit normalement se mordre les doigts d’ailleurs, mais ils étaient à peu près crédibles, on ne mordra que légèrement (je suis dispensée pour pouvoir continuer à vous écrire).

Je pense qu’ils passent plus de temps à chercher comment étouffer le nouveau scandale qui point à l’horizon qu’à se préoccuper des affaires du pays. Et donc, connaissant la génération de zappeurs d’infos, ils en cherchent un autre. Qui ne les concerne pas. Sinon, c’est moins drôle. Une vieille histoire de patate chaude qu’on se refile les uns les autres : c’est pas moi c’est l’autre. Moi c’était rien à côté de l’autre qui a fait pire. Pendant qu’on parle de l’autre, moi, je me glisse entre les mailles du filet.

On ne guérit plus rien. On  accepte les situations telles qu’elles sont.

Et nous, citoyens honnêtes ? Choisir sa bataille devient difficile. Alors on se ne bat plus. On colmate. Comme les décisions un peu surprenantes qui ne tiennent même pas compte de l’effet produit.

Exemple : j’apprends que dans certaines écoles, on montre aux petits comment réagir en cas d’attentat.

Finalement, j’arrête de me poser la question des cours suivis ou ratés … c’est encore (s’en sortira-t-on un jour ?!) un problème d’ego : tant que je suis sur le podium, … je suis sur le podium. Si haut que rien ne m’atteint. Hum … ça me rappelle un truc 😦

Le mot d’ordre sera : votez Pomme ! qu’on n’en parle plus.

 

Mise en garde

Je n’imaginais pas le record qu’atteindrait ma lettre à mon (ex) bourreau. Vraiment pas. Je suis même stupéfaite du nombre de fois où elle a été partagée.

Je lis les commentaires qui arrivent sur ma page Facebook et je comprends l’effet produit…

Je voudrais juste mettre en garde toutes les victimes de ces manipulateurs : ne les « cherchez » pas, ne les provoquez pas, ignorez les, fuyez, sauvez-vous.

Si j’ai écrit cette lettre c’était par amusement parce que je peux me le permettre, évidemment. Maintenant, je ne lui ai pas envoyée !

Il est surtout évident que cette lettre est destinée aux victimes pour leur montrer qu’on peut grandir (énormément) une fois sortie de leurs griffes assassines. La vie est devant nous, elle nous attend, elle nous tend les bras, elle sent bon la liberté et l’honneur.

Il est possible de faire d’échecs, parfois, une grande force.

C’est tout ce que raconte mon histoire et ce blog que j’ai réunis dans mon livre. Mais tout n’est pas consacré aux tordus, histoire de voir la vie autrement 😉

 

Quelques jours au bord de la mer. Lieu de ressources pour moi.

L’appartement (ô le luxe !) donne sur la plage. Qui dit « plage », dit voie réservée aux vélos.

Je suis sur le balcon, soudain, j’entends crier.

Sur la piste cyclable un groupe de 8 personnes, dont 2 enfants (environ 8/9 ans). Le petit garçon vient de tomber. Son père (j’imagine) lui hurle dessus, pose son vélo, s’approche de son fils, lui envoie une claque alors qu’il est à peine relevé. Le pauvre petit ne sait plus où frotter. Il pleure. La mère semble sidérée, les accompagnants saisis. Lire la Suite

A malin, malin et demi

20h

Dans l’art de manipuler, il existe différents degrés.

Pour commencer tout en douceur, nous citerons la manipulation gentille, partant d’un bon sentiment, non empreinte d’un esprit tordu. Car oui, nous sommes tous plus ou moins manipulateurs.
Exemple : la maman qui dit à son petit que Spiderman ne se nourrit que de haricots verts. (déjà cité quelque part) Reconnaissons lui là une volonté réelle et sincère de vouloir donner à son petit, le meilleur, pour grandir (les non amateurs de haricots verts pourront remplacer ça par des épinards/de la salade/des choux de Bruxelles…).

Maintenant que vous êtes dans l’ambiance, montons crescendo. Lire la Suite

Du bon usage du marketing

Je suis sûre que pas un seul d’entre vous n’a raté les épisodes de la crise (qui, disons le, tend à se calmer pendant les congés)… et qui dit « crise » , dit restriction.

Les restaurateurs le disent : « c’est calme. »
Non que ce soit calme parce que les gens n’ont effectivement plus d’argent mais parce qu’on leur a fichu une belle frousse.
Soit, il y a certainement des riches qui le sont moins et des pauvres qui le sont plus.
Mais globalement ?

Globalement, j’ai un doute !
Il parait même que bison futé (que ça m’énerve !) n’a pas chômé lui …

Donc comme toute société qui se respecte, chacun y va de sa pub pour pousser au vice extrême de la consommation inutile.

Et on y va pour les campagnes d’affichage (qui coûte une fortune , consommateurs, pensez y avant d’acheter )…
Je me retrouve à un feu rouge et j’ai le temps d’apprécier l’intelligence qui consiste à vouloir vendre en utilisant n’importe quoi.

Et n’importe quoi c’est : une bouée, symbôle de l’enfance, du petit trésor qu’on emmène à la plage, innocent s’il en est.
Que fait-on avec une bouée maintenant ? on y plante un couteau (dans la tête du « canard ») et on y met le sang nécessaire pour que le spectateur savoure.
Parce que, spectateur il y aura : c’est une publicité pour une chaine de TV qui nous annonce que les « méchants ne sont pas en vacances ».

Point de vue d’un adulte standard : waouh ! ça va saigner, je ne vais pas m’ennuyer.
Point de vue d’un adulte évolué : bande d’abrutis ! vous voulez traumatiser nos chérubins ?
Point de vue d’un enfant : se baigner est dangereux.

Réaction d’un adulte standard : je m’abonne.
Réaction d’un adulte évolué : je boycotte.
Réaction d’un enfant : je ne veux plus aller à la plage.

Comme l’enfant ne veut plus aller à la plage, les parents vont mourir d’ennui et … s’abonner !

Sauf si ils ont affaire à un adulte évolué qui va leur expliquer que c’est n’importe quoi puisque si on plante un couteau dans une bouée, elle crève. Et qui va surtout vite lui apprendre à nager … sans bouée !
Je fabriquerais des bouées, je serais verte !